OUI, nous sommes POUR l'existence d'un outil public finançant la production et la diffusion de programmes radios ayant trait à la diversité, aux minorités et à la prévention des discriminations, en toute indépendance éditoriale.
NON, nous sommes CONTRE le fait de laisser perdurer un système par lequel quatre cinquièmes des financements attribués à la mise en oeuvre de ces missions d'intérêt général sont utilisés pour financer le fonctionnement d'une structure et non pas de ses objectifs. Il est nécessaire d'inventer un nouveau modèle permettant de rationaliser les frais de gestion au bénéfice des radios participantes, productrices de contenus de proximité, et plus généralement au bénéfice de toutes les radios qui souhaitent diffuser ces productions.
OUI, nous sommes POUR sortir de cette situation par le haut, et nous attendons du Médiateur et des pouvoirs publics des propositions novatrices, pertinentes et viables :
allant dans le sens d'une optimisation des financements publics ; au bénéfice des auditrices et auditeurs des radios de communication sociale de proximité ; du renforcement de leurs missions d'intérêt général sur les territoires ; de l'affectation de l'essentiel des financements publics et privés aux radios associatives dans leur double fonction de producteurs et de diffuseurs.
NON, nous sommes CONTRE le fait de laisser perdurer un système par lequel quatre cinquièmes des financements attribués à la mise en oeuvre de ces missions d'intérêt général sont utilisés pour financer le fonctionnement d'une structure et non pas de ses objectifs. Il est nécessaire d'inventer un nouveau modèle permettant de rationaliser les frais de gestion au bénéfice des radios participantes, productrices de contenus de proximité, et plus généralement au bénéfice de toutes les radios qui souhaitent diffuser ces productions.
OUI, nous sommes POUR sortir de cette situation par le haut, et nous attendons du Médiateur et des pouvoirs publics des propositions novatrices, pertinentes et viables :
allant dans le sens d'une optimisation des financements publics ; au bénéfice des auditrices et auditeurs des radios de communication sociale de proximité ; du renforcement de leurs missions d'intérêt général sur les territoires ; de l'affectation de l'essentiel des financements publics et privés aux radios associatives dans leur double fonction de producteurs et de diffuseurs.