Les questions de déontologie journalistique ne peuvent être traitées qu'en toute indépendance des pouvoirs politiques, c'est pourquoi le CDJM a été créé de manière tripartite, au sein de la profession et avec le public. En effet, face au climat de défiance envers la profession et à la manipulation de l’information, cette instance d’autorégulation déontologique a aussi pour vocation d’être un outil de dialogue entre le public et les médias. Certes la radio reste le média auquel les Français font le plus confiance, mais cette confiance est fragile. C'est pourquoi le SNRL, seule organisation professionnelle représentative du secteur de la radiodiffusion, souhaite poursuivre au sein du CDJM ses actions en faveur du respect de la déontologie journalistique.
Une centaine de conseils de déontologie journalistique a déjà vu le jour à travers le globe, dont 18 en Europe.
Depuis de nombreuses années, le SNRL travaille aux côtés d’autres syndicats, organisations et personnalités, pour qu’une telle structure réunissant les représentants de l’ensemble de la profession émerge en France.
Le rôle des organisations syndicales et des organisations professionnelles représentatives est incontestablement de s'y engager.
Très attaché au respect de la déontologie, c’est avec conviction que le SNRL a participé à la constitution du CDJM, après s'être activement engagé dans l'Observatoire de la Déontologie de l'Information et dans l'Association de Préfiguration d'un Conseil de Presse. Il compte continuer d’œuvrer aux côtés de ses autres membres pour que cette nouvelle instance se développe sereinement. C'est pourquoi les Conseillers Nationaux SNRL Mélanie Charpentier et Thierry Borde ont été élus au Conseil d'Administration du CDJM. Ce dernier en assurant la fonction de trésorier.
Une centaine de conseils de déontologie journalistique a déjà vu le jour à travers le globe, dont 18 en Europe.
Depuis de nombreuses années, le SNRL travaille aux côtés d’autres syndicats, organisations et personnalités, pour qu’une telle structure réunissant les représentants de l’ensemble de la profession émerge en France.
Le rôle des organisations syndicales et des organisations professionnelles représentatives est incontestablement de s'y engager.
Très attaché au respect de la déontologie, c’est avec conviction que le SNRL a participé à la constitution du CDJM, après s'être activement engagé dans l'Observatoire de la Déontologie de l'Information et dans l'Association de Préfiguration d'un Conseil de Presse. Il compte continuer d’œuvrer aux côtés de ses autres membres pour que cette nouvelle instance se développe sereinement. C'est pourquoi les Conseillers Nationaux SNRL Mélanie Charpentier et Thierry Borde ont été élus au Conseil d'Administration du CDJM. Ce dernier en assurant la fonction de trésorier.
A quoi sert le CDJM ?
Le CDJM se donne pour mission d’émettre des avis sur le respect des pratiques professionnelles des médias d’information. Tout lecteur, spectateur, auditeur peut le saisir s'il estime qu'une émission ou un article a enfreint les codes déontologiques de la profession. Le CDJM peut aussi s'autosaisir d'un sujet.
Un conseil de déontologie journalistique est aussi une protection pour les éditeurs et les journalistes : il défend la liberté éditoriale, qui dépend du directeur ou de la directrice de publication, il respecte les choix éditoriaux, qui sont libres et demeurent l’apanage des rédactions, il refuse toute intervention a priori en ne se prononçant qu’a posteriori sur des articles publiés ou des émissions diffusées. Enfin, il peut être un rempart pour les rédactions et les éditeurs contre les pressions des pouvoirs et des lobbies.
Un conseil de déontologie journalistique est aussi une protection pour les éditeurs et les journalistes : il défend la liberté éditoriale, qui dépend du directeur ou de la directrice de publication, il respecte les choix éditoriaux, qui sont libres et demeurent l’apanage des rédactions, il refuse toute intervention a priori en ne se prononçant qu’a posteriori sur des articles publiés ou des émissions diffusées. Enfin, il peut être un rempart pour les rédactions et les éditeurs contre les pressions des pouvoirs et des lobbies.
Patrcik Eveno, Président du Conseil de déontologie journalistique et de médiation
Devenir membre du CDJM, c’est possible !
Personnes physiques, associations, écoles, syndicats ou entreprises peuvent adhérer au CDJM. Pour les radios associatives, la cotisation annuelle est de 50 €.
Pour en savoir davantage sur ce nouveau conseil, nous vous invitons à consulter son site :
https://cdjm.org/
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