C’est ainsi que se forge la citoyenneté : une alchimie complexe, mais utile, de droits, de devoirs et de respect que cela implique. Chacun le sait : les médias - et la radio et la télévision en premier lieu pour des raisons évidentes – sont les vecteurs essentiels de cette alchimie, peut-être même avant l’école. On peut le regretter, mais cela se discute en tout cas. Tous les médias en font-il autant ? Sont-ils tous conscients qu’il y a là un devoir moral pour que notre pays s’apaise ? 2 millions d’auditeurs près de deux heures par jour : comment les radios locales ont-elles bâti ce lien qui les unit à leurs auditeurs ?
Pourquoi la confiance dans les médias locaux est-elle si précieuse, alors que la défiance dans les médias globaux est si désastreuse ? L’éducation populaire et la responsabilité civique par les médias sont-elles incompatibles avec la liberté d’expression et la diversité culturelle ? Permettent-elles un bon exercice de la liberté de la presse et le respect par chacun des droits et des devoirs que celle-ci implique à l’heure où elle semble malmenée de toutes parts ? Au moment où le sens commun se perd dans les méandres de la futilité médiatique, de l’inutilité des réseaux sociaux abandonnés à la rumeur, de l’incongruité de programmations culturelles formatées, peut-on favoriser une complémentarité sereine entre les médias et l’école ?
Après l’Ouverture officielle par Michel Veunac, Maire de Biarritz, les modérateurs Thierry Borde, l’Observatoire de la déontologie de l’information et Ludovic Tellier, Délégué National aux Affaires juridiques ont pu débattre avec :
Patrice Gélinet, Membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, Président de la Commission « Radio analogique et numérique » ;
Christine Kelly, Ancienne membre du CSA, organisatrice de la Journée Education aux Médias le 21 novembre, Initiatrice de la Villa des Médias ;
Martin Ajdari, Directeur Général des médias et des industries culturelles (DGMIC) Ministère de la Culture et de la Communication ;
Damian Loreti, Avocat international, père de la loi sur l’audiovisuel en Argentine ;
Eloïse Lebourg, Journaliste-reporter indépendante, gérante de Mediacoop ;
Et Emmanuel Boutterin, président du SNRL
Aurélie Filippetti et Franck LaRue s'excusent de leur absence
Pourquoi la confiance dans les médias locaux est-elle si précieuse, alors que la défiance dans les médias globaux est si désastreuse ? L’éducation populaire et la responsabilité civique par les médias sont-elles incompatibles avec la liberté d’expression et la diversité culturelle ? Permettent-elles un bon exercice de la liberté de la presse et le respect par chacun des droits et des devoirs que celle-ci implique à l’heure où elle semble malmenée de toutes parts ? Au moment où le sens commun se perd dans les méandres de la futilité médiatique, de l’inutilité des réseaux sociaux abandonnés à la rumeur, de l’incongruité de programmations culturelles formatées, peut-on favoriser une complémentarité sereine entre les médias et l’école ?
Après l’Ouverture officielle par Michel Veunac, Maire de Biarritz, les modérateurs Thierry Borde, l’Observatoire de la déontologie de l’information et Ludovic Tellier, Délégué National aux Affaires juridiques ont pu débattre avec :
Patrice Gélinet, Membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, Président de la Commission « Radio analogique et numérique » ;
Christine Kelly, Ancienne membre du CSA, organisatrice de la Journée Education aux Médias le 21 novembre, Initiatrice de la Villa des Médias ;
Martin Ajdari, Directeur Général des médias et des industries culturelles (DGMIC) Ministère de la Culture et de la Communication ;
Damian Loreti, Avocat international, père de la loi sur l’audiovisuel en Argentine ;
Eloïse Lebourg, Journaliste-reporter indépendante, gérante de Mediacoop ;
Et Emmanuel Boutterin, président du SNRL
Aurélie Filippetti et Franck LaRue s'excusent de leur absence