"Les radios associatives doivent être présentes sur la plate-forme Radio Player France !". C'est l'alerte donnée par la CNRA et le SNRL, qui représentent les radios associatives dans leur diversité, soit 600 radios et 2500 salarié.es.
Les radios associatives sont depuis longtemps convaincues de la complémentarité entre la FM, le DAB+ et IP. La convergence de ces différents modes d’écoute, accessibles via une application commune, représente un enjeu majeur face aux plateformes non régulées.
Les deux organisations représentatives souhaitent que RadioPlayer, opérée par la société Cosmos en France, devienne un acteur incontournable en Europe en offrant un accès global à l’ensemble de nos radios quel que soit son mode de diffusion, afin de favoriser la convergence FM, DAB+ et web.
Afin de garantir la diversité de l’offre radiophonique et la neutralité de traitement des radios accessibles via RadioPlayer, notamment pour ce qui est des radios locales, "la CNRA et le SNRL souhaitent, au travers d’une entité commune constituée, être pleinement intégrés au processus technique et à la gouvernance de la société Cosmos au même titre que les radios nationales, régionales, publiques et commerciales déjà associées".
Les radios associatives, historiquement engagées dans la voie de la numérisation, entendent participer activement à l’initiative Radio Player et contribuer à son succès grâce à leurs programmes de proximité.
C’est pourquoi la CNRA et le SNRL ont décidé d'alerter le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et la Ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, sur le risque d’une position de “monopole” que pourrait prendre RadioPlayer en France, entre autres pour l’écoute des radios hertziennes en mobilité, et l’importance d’ouvrir la gouvernance à tous les acteurs représentatifs du secteur afin de garantir sa neutralité et sa souveraineté.
Pour Emmanuel Boutterin, président du SNRL, membre du Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique, "il en va à la fois de la diversité culturelle, de la production radiophonique locale et de la concurrence avec les plateformes étrangères qui s'affranchissent des droits des éditeurs, des producteurs et des auteurs".
La Société Cosmos a souhaité exercer un "droit de réponse" à cet article. Vous le trouverez ici
Les radios associatives sont depuis longtemps convaincues de la complémentarité entre la FM, le DAB+ et IP. La convergence de ces différents modes d’écoute, accessibles via une application commune, représente un enjeu majeur face aux plateformes non régulées.
Les deux organisations représentatives souhaitent que RadioPlayer, opérée par la société Cosmos en France, devienne un acteur incontournable en Europe en offrant un accès global à l’ensemble de nos radios quel que soit son mode de diffusion, afin de favoriser la convergence FM, DAB+ et web.
Afin de garantir la diversité de l’offre radiophonique et la neutralité de traitement des radios accessibles via RadioPlayer, notamment pour ce qui est des radios locales, "la CNRA et le SNRL souhaitent, au travers d’une entité commune constituée, être pleinement intégrés au processus technique et à la gouvernance de la société Cosmos au même titre que les radios nationales, régionales, publiques et commerciales déjà associées".
Les radios associatives, historiquement engagées dans la voie de la numérisation, entendent participer activement à l’initiative Radio Player et contribuer à son succès grâce à leurs programmes de proximité.
C’est pourquoi la CNRA et le SNRL ont décidé d'alerter le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et la Ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, sur le risque d’une position de “monopole” que pourrait prendre RadioPlayer en France, entre autres pour l’écoute des radios hertziennes en mobilité, et l’importance d’ouvrir la gouvernance à tous les acteurs représentatifs du secteur afin de garantir sa neutralité et sa souveraineté.
Pour Emmanuel Boutterin, président du SNRL, membre du Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique, "il en va à la fois de la diversité culturelle, de la production radiophonique locale et de la concurrence avec les plateformes étrangères qui s'affranchissent des droits des éditeurs, des producteurs et des auteurs".
La Société Cosmos a souhaité exercer un "droit de réponse" à cet article. Vous le trouverez ici