Jean-Marc Ayrault, ancien Premier Ministre lui a remis, samedi 3 février, l’insigne des Arts et Lettres lors d’une cérémonie à l’hôtel de ville de Saint-Herblain, commune de l’agglomération nantaise sur laquelle il œuvre depuis plus de 20 ans au sein de la radio Jet FM.
Loïc Chusseau a rejoint l’équipe du SNRL en 2010 lors du Congrès de Nantes qui avait été accueilli à l’époque par Jean-Marc Ayrault alors Député-Maire. A cette occasion, la première expérimentation en Radio Numérique Terrestre (RNT) avait été lancée en présence d’Alain Méar et de Rachid Arhab, tous deux membres à l’époque, du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Lors de son discours, Jean-Marc Ayrault a salué ses engagements pour la radio, sa droiture, sa capacité d’écoute, son audace et sa passion : « Vous avez beaucoup travaillé pour contribuer au développement de la radio, de son expression artistique et de sa mission citoyenne tant à l’échelle locale que nationale, notamment auprès des publics jeunes et fragiles ; voilà toutes les raisons qui ont conduit la ministre de la Culture à vous accorder cette distinction. »
Loïc Chusseau a remercié « Jean-Marc Ayrault pour l’écoute et le soutien qu’il a pu apporter aux différentes initiatives lors de ses différents mandats et fonctions, tant au niveau local - Radio Jet FM, Fédération des Radios associatives en Pays de la Loire, le Groupement des radios de la Métropole, le Festival Sonor – qu’au niveau national avec le SNRL. »
Loïc Chusseau a également remercié la Ministre de la Culture, Madame Françoise Nyssen, de l’avoir nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres : « Au-delà de la reconnaissance personnelle pour mon investissement et mon engagement dans le domaine de la radiodiffusion associative et des arts radiophoniques, c’est un signe fort de considération de ce secteur et du travail accompli par le SNRL. » a-t-il déclaré.
Loïc Chusseau a terminé son discours en adressant ses remerciements à Emmanuel Boutterin, président du Syndicat National des radios libres, « qui a créé les conditions pour faire émerger une nouvelle équipe au sein du syndicat en confiant des responsabilités et en permettant l’engagement de démarches et de projets, qui demandaient souvent de soulever des montagnes. Le SNRL a su ainsi, à plus d’un titre, accompagner les évolutions de la radio, et a permis aux radios associatives d’affirmer leur savoir-faire, leurs compétences et leur expertise au sein de la sphère médiatique notamment.
Bien que nous soyons plus de 35 ans après la libération des ondes, nombreux sont encore les combats à mener pour faire exister les radios associatives et leurs missions de communication sociale de proximité, et pour intégrer pleinement les radios dans le champ culturel.
L’importance de la création radiophonique dans la promotion et la diversité culturelle en France, de l’éducation aux médias, son rôle dans la découverte, l’exposition et la diffusion de productions originales ne sont plus à démontrer. De nombreuses initiatives voient ainsi le jour pour porter la création radiophonique vers de nouveaux horizons et de nouveaux publics mais les enjeux à relever sont importants pour donner à ce 8ème art la place qu’il mérite, au risque de le voir réduit au silence radio ou à une fonction purement divertissante. »
Loïc Chusseau a rejoint l’équipe du SNRL en 2010 lors du Congrès de Nantes qui avait été accueilli à l’époque par Jean-Marc Ayrault alors Député-Maire. A cette occasion, la première expérimentation en Radio Numérique Terrestre (RNT) avait été lancée en présence d’Alain Méar et de Rachid Arhab, tous deux membres à l’époque, du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Lors de son discours, Jean-Marc Ayrault a salué ses engagements pour la radio, sa droiture, sa capacité d’écoute, son audace et sa passion : « Vous avez beaucoup travaillé pour contribuer au développement de la radio, de son expression artistique et de sa mission citoyenne tant à l’échelle locale que nationale, notamment auprès des publics jeunes et fragiles ; voilà toutes les raisons qui ont conduit la ministre de la Culture à vous accorder cette distinction. »
Loïc Chusseau a remercié « Jean-Marc Ayrault pour l’écoute et le soutien qu’il a pu apporter aux différentes initiatives lors de ses différents mandats et fonctions, tant au niveau local - Radio Jet FM, Fédération des Radios associatives en Pays de la Loire, le Groupement des radios de la Métropole, le Festival Sonor – qu’au niveau national avec le SNRL. »
Loïc Chusseau a également remercié la Ministre de la Culture, Madame Françoise Nyssen, de l’avoir nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres : « Au-delà de la reconnaissance personnelle pour mon investissement et mon engagement dans le domaine de la radiodiffusion associative et des arts radiophoniques, c’est un signe fort de considération de ce secteur et du travail accompli par le SNRL. » a-t-il déclaré.
Loïc Chusseau a terminé son discours en adressant ses remerciements à Emmanuel Boutterin, président du Syndicat National des radios libres, « qui a créé les conditions pour faire émerger une nouvelle équipe au sein du syndicat en confiant des responsabilités et en permettant l’engagement de démarches et de projets, qui demandaient souvent de soulever des montagnes. Le SNRL a su ainsi, à plus d’un titre, accompagner les évolutions de la radio, et a permis aux radios associatives d’affirmer leur savoir-faire, leurs compétences et leur expertise au sein de la sphère médiatique notamment.
Bien que nous soyons plus de 35 ans après la libération des ondes, nombreux sont encore les combats à mener pour faire exister les radios associatives et leurs missions de communication sociale de proximité, et pour intégrer pleinement les radios dans le champ culturel.
L’importance de la création radiophonique dans la promotion et la diversité culturelle en France, de l’éducation aux médias, son rôle dans la découverte, l’exposition et la diffusion de productions originales ne sont plus à démontrer. De nombreuses initiatives voient ainsi le jour pour porter la création radiophonique vers de nouveaux horizons et de nouveaux publics mais les enjeux à relever sont importants pour donner à ce 8ème art la place qu’il mérite, au risque de le voir réduit au silence radio ou à une fonction purement divertissante. »